Le choix d’un avocat pour un particulier, par définition, peu familier avec la chose juridique, est difficile, mais cela l’est également pour les dizaines de milliers de PME qui peinent à distinguer les bons des mauvais avocats. Car c’est la grande découverte que font les petites entreprises lors de leurs premiers procès : tous les avocats qu’elles mettent dans un premier temps sur un piedestal, ne se valent pas tous. Une majorité est moyenne, une minorité est franchement mauvaise et seule une élite est réellement bonne.
Le choix d’un avocat qui intervient, la plupart du temps lors de périodes critique, s’il se fait souvent dans l’urgence, doit être réalisé avec grande précaution.
Voici 6 critères pour choisir un avocat de société de services.
1. Expérience avec des PME de services
Défendre un industriel qui fabrique des chaussures comme la Compagnie des Vosges, un indépendant dans le consulting ou une PME qui intervient dans le nettoyage est différent. La compréhension du contexte, les moyens, de la façon de réaliser des arbitrages risques/espérance de gain, de la capacité d’investissement, des besoins de trésorerie d’une société de services conditionne largement la stratégie juridique que l’avocat définit, en tout cas des bons avocats qui adaptent leur stratégie juridique au contexte de leur client. Il faut donc que l’avocat affiche des références de PME de services et surtout montre ce qu’il en a retenu
2. Expérience avec votre secteur d’activité
L’idéal est de tomber sur un avocat qui a déjà défendu les intérêts d’une société avec un positionnement similaire ou du même secteur d’activité est un plus, en particulier, s’il a remporté ses procès. La proximité des activités recouvre quelques subtilités : un avocat qui aurait de l’expérience des cabinets d’expertise comptable ne serait pas forcément le meilleur pour un expert comptable en ligne dont les problématiques se rapproche de celle d’un éditeur.
3. Procès remporté
Les résultats de nombreux procès sont publics. L’avocat peut donc beaucoup plus communiquer sur les résultats qu’il a obtenu, qu’il ne veut souvent le dire. Lui demander les résultats qu’il a obtenu n’a rien de déplacé, bien au contraire. Vous pouvez effectué une recherche en couplant le nom de votre avocat avec « jurisprudence ». Vous tomberez peut-être sur une page relativement à une jurisprudence dans laquelle l’avocat aurait été partie prenante.
4. Clareté sur ses tarifs
Un avocat dirige une entreprise qui a des recettes et des charges. Il sait parfaitement que ses clients sont préoccupés par le coût de l’intervention. Un bon avocat, qu’il facture à l’heure ou au forfait, a une bonne idée du montant total de la facture « hors surprise de dernière » minute et peut estimer le final de l’intervention à 10% ou 20% près. Il faut se méfier d’un avocat qui resterait évasif sur le coût total d’une intervention.
5. Capacité à réaliser un diagnostic et définir une stratégie rapidement
Un avocat qui est bon et qui possède de l’expérience peut évaluer le contexte en quelques dizaines de minutes et 10 ou 20 questions et présenter les stratégies alternatives ainsi que les chances de remporter le procès, évidement sans garantie de résultat dans la mesure où un avocat ne le peut pas.
Trouver un avocat pour une prestataire de services aux entreprises
Le choix d’un avocat pour un particulier, par définition, peu familier avec la chose juridique, est difficile, mais cela l’est également pour les dizaines de milliers de PME qui peinent à distinguer les bons des mauvais avocats.
Car c’est la grande découverte que font les petites entreprises lors de leurs premiers procès : tous les avocats qu’elles mettent dans un premier temps sur un piedestal, ne se valent pas tous. Une majorité est moyenne, une minorité est franchement mauvaise et seule une élite est réellement bonne.
Le choix d’un avocat qui intervient, la plupart du temps lors de périodes critique, s’il se fait souvent dans l’urgence, doit être réalisé avec grande précaution.
Voici 6 critères pour choisir un avocat de société de services.
1. Expérience avec des PME de services
Défendre un industriel qui fabrique des chaussures comme la Compagnie des Vosges, un indépendant dans le consulting ou une PME qui intervient dans le nettoyage est différent. La compréhension du contexte, les moyens, de la façon de réaliser des arbitrages risques/espérance de gain, de la capacité d’investissement, des besoins de trésorerie d’une société de services conditionne largement la stratégie juridique que l’avocat définit, en tout cas des bons avocats qui adaptent leur stratégie juridique au contexte de leur client. Il faut donc que l’avocat affiche des références de PME de services et surtout montre ce qu’il en a retenu
2. Expérience avec votre secteur d’activité
L’idéal est de tomber sur un avocat qui a déjà défendu les intérêts d’une société avec un positionnement similaire ou du même secteur d’activité est un plus, en particulier, s’il a remporté ses procès. La proximité des activités recouvre quelques subtilités : un avocat qui aurait de l’expérience des cabinets d’expertise comptables ne serait pas forcément le meilleur pour un expert comptable en ligne dont les problématiques se rapproche de celle d’un éditeur
3. Procès remporté
Les résultats de nombreux procès sont publics. L’avocat peut donc beaucoup plus communiquer sur les résultats qu’il a obtenu, qu’il ne veut souvent le dire. Lui demander les résultats qu’il a obtenu n’a rien de déplacé, bien au contraire. Vous pouvez effectué une recherche en couplant le nom de votre avocat avec « jurisprudence ». Vous tomberez peut-être sur une page relativement à une jurisprudence dans laquelle l’avocat aurait été partie prenante.
4. Clareté sur ses tarifs
Un avocat dirige une entreprise qui a des recettes et des charges. Il sait parfaitement que ses clients sont préoccupés par le coût de l’intervention. Un bon avocat, qu’il facture à l’heure ou au forfait, a une bonne idée du montant total de la facture « hors surprise de dernière » minute et peut estimer le final de l’intervention à 10% ou 20% près. Il faut se méfier d’un avocat qui resterait évasif sur le coût total d’une intervention.
5. Capacité à réaliser un diagnostic et définir une stratégie rapidement
Un avocat qui est bon et qui possède de l’expérience peut évaluer le contexte en quelques dizaines de minutes et 10 ou 20 questions et présenter les stratégies alternatives ainsi que les chances de remporter le procès, évidement sans garantie de résultat dans la mesure où un avocat ne le peut pas.